👉 Tu te sens en décalage avec les autres, tu ne sais parfois pas quoi dire et tu cherches des solutions pour savoir créer un lien avec les autres.
👉 Tu sens que le manque de confiance t’empêche de te réaliser pleinement et tu veux dire stop aux pensées limitantes.
     Sois le bienvenu. Mon équipe et moi-même avons créé 40 outils en ligne qui ont pour but de provoquer ce fameux déclic. N’oublie pas de prendre quelques minutes pour visiter nos rubriques Outils en ligne & Ebooks en cliquant dessus.

timiditéDans cet article, je vais vous parler de mon déclic le plus important qui m’a servi à vaincre mes problèmes de timidité et d’anxiété sociale. 

Je ne sais pas pour vous, mais moi, étant de caractère très introverti, à la limite parfois de la personnalité asociale, lorsque je participe à une sortie en groupe, à une soirée, à un moment de rassemblement festif avec des amis, il m’arrive quelquefois de ressentir à la fin de la journée une sorte d’épuisement mental.
Vidé, éreinté, comme si tous ces moments de sociabilité, d’amabilité réciproque, ont été pour moi des épreuves coûteuses en efforts.

Je sais que pour ma part, pendant longtemps, en raison d’une anxiété dans les situations sociales, cet état de fatigue à la fin d’une épreuve était permanent et quasiment inévitable. Les rencontres, les sorties, les moments de détente : est-ce une fatalité pour la personne timide ou très introvertie ? Non, il existe une solution pour tenter au mieux de parer à cela : le principe du plaisir.


ORIGINE DE CETTE CHUTE D’ÉNERGIE À LA FIN D’UNE RENCONTRE

Beaucoup d’entre nous multiplions les sorties en groupe, les soirées, les expériences sociales pour améliorer notre sociabilité. Mais souvent, de retour d’une journée ponctuée d’échanges, on ne peut s’empêcher de lâcher ce genre de commentaires :

« Je me suis forcé à aller vers les autres, mais à la fin de la sortie, je n’avais plus aucune énergie. » ou encore « J’ai bavardé avec les autres, j’ai cherché des sujets de conversation, mais que ce fut épuisant… »

Quelle est l’origine de cette sensation de perte d’énergie, de fatigue mentale, à la fin d’une épreuve sociale ?

Pour la simple et bonne raison que la personne timide ou très introvertie, tout au long de l’événement, aura consommé beaucoup d’efforts psychologiques pour multiplier une série d’actes sociaux.
Par exemple : se forcer à aller vers les autres, parler, faire bonne figure, rire automatiquement, ajuster sa réaction au regard des autres, trouver des choses intéressantes à dire, etc…

Si chaque acte est soumis à un effort particulier, il est tout à fait normal qu’à la fin de la journée, cette personne ressente une sorte d’épuisement mental.

À l’inverse, la majorité des autres participants présents à ce moment de rassemblement, de fête, se sont sûrement bien amusés de leur côté et débordent encore de plein d’énergie pour prolonger la soirée… !
Pourquoi ? Parce que ces derniers se sont contentés seulement de : suivre leur instinct social, parler en exprimant sincèrement des ressentis, agir de manière spontanée et conforme à leurs impulsions, partager des émotions, rire, prendre du plaisir à être avec les autres, etc…

Je sais que la comparaison peut paraître violente à lire : mais malheureusement, c’est la réalité. Et c’est la raison pour laquelle les extravertis, les sociables, gagnent de l’énergie lorsqu’ils sont en groupe tandis que les introvertis et timides en perdent de leur côté.


VAINCRE LA TIMIDITÉ, LA PEUR DES AUTRES… AVEC PLAISIR

C’est ma certitude : une personne ne peut espérer être épanouie et sereine dans les relations sociales si elle se laisse contraindre à consommer perpétuellement des efforts.

Je suis moi-même bien placé pour en parler : je suis par nature d’un tempérament introverti et anxieux. À une époque, je me souviens que chaque rencontre, chaque sortie, chaque effort d’intégration, me coûtaient énormément en énergie. J’avais l’impression de toujours devoir faire ceci ou cela pour être « bien vu » par les autres : avoir de la conversation, sourire, être intéressant, paraître sociable… 

S’il y a une seule leçon que je retiendrai de tout ce que j’ai appris durant ces dix années d’introspection et de développement personnel, c’est que le meilleur remède pour surmonter tout cela : c’est de chercher par tous les moyens à faire émerger la sensation du plaisir dans les rencontres, à trouver des choses positives et agréables dans le fait d’être avec les autres, quitte à les « créer mentalement » dans un premier temps.

La peur, l’anxiété, ce sont des réactions psychologiques et physiologiques non neutres, déstabilisantes, envahissantes, parfois trop lourdes à gérer.
Quoi de plus percutant, de plus efficace qui existe au monde, que de transformer l’effet de peur en un effet de plaisir ? 
En résumé, on inverse complètement le processus psychologique : PEUR <==> PLAISIR.

Je sens déjà certains d’entre vous réagir de manière sceptique : « Oui, mais comment trouver du plaisir dans les relations humaines quand on est de nature introverti et asocial ? », « Comment ressentir du plaisir alors que la timidité et l’anxiété prennent le dessus à chaque fois ? »

Je conçois que l’opération est loin d’être facile mais je persiste à croire que :

1) Ce n’est pas impossible : l’important, c’est de trouver des moments de plaisir, des petits morceaux par ci par là qui pourraient déjà plus nous motiver à être avec les autres. Il s’agit de trouver les ressources en soi pour activer physiologiquement la zone « plaisir » de notre cerveau. 

2) Cela reste la meilleure solution au monde pour enrayer la peur car on prend justement son opposé.
À l’inverse de la peur, le plaisir est une sensation positive, légère, agréable, qui facilite du coup la spontanéité et l’envie du contact humain sans avoir à se forcer.

3) À ma connaissance, c’est aussi la seule solution que j’ai trouvée pour éviter cette chute d’énergie à la fin d’une épreuve sociale : quand chacun de nos actes, de nos gestes, est fait avec un minimum de plaisir (et non avec effort), on aide à la préservation de notre énergie.


EXEMPLES DE TECHNIQUES POUR VAINCRE LA TIMIDITÉ

Voici différentes techniques concrètes qui m’ont aidé à avoir plus de plaisir avec les autres :

  • S’intéresser sincèrement aux autres
    Quelque soit la personne en face de moi, j’ai envie de la connaître, de savoir qui elle est vraiment derrière ses apparences.
    Être curieux de l’autre : Que fait-elle dans la vie ? Est-elle heureuse dans son travail ? Quels sont ses rêves ? Son film favori ? Quelle est la vraie raison de sa présence à cette sortie ? etc…
    I
    ci, le processus psychologique inversé pourrait être : méfiance <=> curiosité.
    Et la curiosité est un état de plaisir. Pour plus de détails, relire l’article du blog : Comment s’intéresser sincèrement aux autres.
  • Avoir plus de plaisir à interagir avec autrui en écoutant et en parlant « utile »
    Par exemple, dans l’écoute, je me dis que j’ai envie d’entendre « l’histoire » de la personne en face de moi. Et de toute façon, étant introverti, je prends un plaisir naturel à écouter les autres.
    Et lorsque je parle, j’ai la possibilité d’amener mes sujets de conversation favoris et sur lesquels j’ai moins d’efforts pour improviser : le cinéma, le sport, le développement personnel, l’écriture, Jim Morrison, etc… ;-)
    L’idée, c’est que c’est plus facile de parler quand on prend du plaisir à le faire, alors autant avec les sujets qui nous passionnent et vous en avez sûrement !
  • Se forcer un peu à faire plaisir aux autres, à rendre service
    Quand on est timide ou introverti, on est replié sur soi-même à notre insu : on est obnubilé par l’image qu’on renvoie aux autres, on est plus focalisé sur notre monde intérieur.
    Pour ma part, on m’avait souvent reproché mon côté asocial et égocentrique : j’ai résolu ce problème dans mes interactions en me décentrant de soi et en pensant beaucoup plus à l’autre.
    Face à un interlocuteur, je peux imaginer par exemple comment je pourrais lui faire plaisir quelques secondes comme : faire un compliment sincère, aider, proposer, avoir un échange plus personnel ou affectif…
    Et j’ai remarqué qu’en adoptant cet état d’esprit, je me focalise moins sur mon égo et je me surprends moi-même à « aimer plus les gens » et les échanges sociaux. 
  • Se dire que nos efforts sociaux, altruistes, sont toujours récompensés
    Une personne réagit toujours positivement, chaleureusement, à nos signaux de sociabilité, et « renvoie la balle » par instinct social.
    C’est ce que je me dis tout le temps pour me motiver à donner de moi-même.
    Par exemple, souvenez-vous des sourires chaleureux, des regards animés, en retour lorsque vous aviez voulu faire plaisir aux gens lors de vos dernières sorties. 
  • Lancer des perches aux autres pour créer un lien :
    Faire un compliment :  « J’aime beaucoup ta personnalité. », « Ça m’a fait vraiment plaisir de te rencontrer. », « J’ai bien aimé ce que tu m’as raconté à propos de ta passion pour la nature et les animaux, peux-tu m’en dire plus ? », etc…
    Rendre un service : « Y a t-il quelque chose que je peux faire pour toi ? », « Ça me ferait plaisir de t’aider à organiser cette prochaine sortie… », « Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? », etc…
    Proposer, suggérer : « Et si on faisait une sortie ciné la prochaine fois ? », « Viens chez moi, je te montrerai ma collection de pierres précieuses. ;-) », « Je propose qu’on se refasse une nouvelle sortie en prenant plus le temps de faire connaissance cette fois. », etc…


VAINCRE LA TIMIDITÉ PAR LE PLAISIR

Voilà « plusieurs axes concrets » sur lesquels on peut opérer mentalement pour faire émerger la sensation de plaisir. Encore une fois, je conçois que la chose n’est pas évidente pour une personne timide ou introvertie. Mais quitte à investir autant de temps à trouver des remèdes dans les démarches thérapeutiques, dans les lectures d’ouvrages sur la timidité ou le développement personnel, lesquels, disons-le, ne mèneront souvent nulle part… autant passer par le chemin le plus radical et naturel après tout : réapprendre le plaisir des relations humaines.

Résultat : au lieu de ressentir une sorte de perte d’énergie, de fatigue psychologique, après chaque rencontre et sortie, il m’arrive au contraire d’éprouver du plaisir après-coup, d’avoir même gagné de l’énergie.

Parce que chacun de mes actes n’était pas un enchaînement d’efforts mécaniques, mais ils étaient sincères, simples, humains, venus du cœur et du désir profond d’être connecté avec l’autre.

N’avez-vous jamais connu un sentiment de plaisir immense à la fin d’une rencontre ou d’une sortie ? Ce plaisir d’avoir fait de nouvelles connaissances enrichissantes, d’avoir croisé le sourire chaleureux d’une dame qui vous a adressé la parole  ? Ou simplement de voir ses efforts de sociabilité récompensés par des gestes d’attention ou d’affection exprimés par une personne reconnaissante ?

Le plaisir est briseur de chaînes, sans doute reste-il encore le remède le plus simple et naturel contre la peur des autres…

PS : Pour continuer à lire, tu peux consulter mon Sommaire de tous les articles du blog ou découvrir ma jolie liste des Outils en ligne pour s'améliorer. Si cet article t'a plu, pense à laisser un commentaire ou à le partager sur tes réseaux sociaux ! 😉

Cet article a 16 commentaires

  1. marie05

    toujours aussi agréable à lire et pertinent !
    Je suis tout à fait d’accord, en tout cas ça colle à ce que j’essaie de faire,
    chercher le plaisir les récompenses, et jamais l’autopunition, la contrainte.

  2. Wendy

    Article très intéressant comme d’habitude ;)
    Lorsque je fais des choses qui me stressent, où je me met beaucoup de pression (par exemple me retrouver au milieu de gens que je connais pas ou peu) je fini souvent par me dire qu’au fond je suis libre de ma vie donc que je ne suis pas obligée d’y aller, de m’imposer tout ce stress. Prenant conscience que ce passage à l’action n’est pas une obligation, je fini par me persuader que si je le fais c’est librement, pour mon bien et qu’il y a forcément un certain plaisir à en retirer. Parfois je me fais une liste de tous les points positifs avant de passer à l’action (du genre : je vais me faire de nouvelles connaissances, je vais découvrir une nouvelle activité, vivre une nouvelle expérience enrichissante, etc…) et je m’en imprègne pour développer le plaisir et diminuer le stress.
    Mais je dois dire que ce n’est pas toujours évidant d’arriver à faire en sorte que le plaisir domine le stress (et dans ces cas là, malheureusement je ne passe souvent pas à l’action).

  3. crusta

    Salut,

    Merci d’avoir abordé cette thématique très PNL. J’y suis très sensible comme tu t’en doutes, je pense que c’est un axe que l’on devrait tous travailler, et le mot « travail » n’est pas innocent car cela n’a rien de naturel de manipuler son cerveau pour le braquer sur le positif quand il a naturellement envie de se mettre sur un canal négatif naturellement.

    J’ai eu sensiblement les mêmes déclics que toi. Je m’intéresse maintenant aux personnes que je rencontre et j’en retire un plaisir tout particulier, en général. Le hic, c’est que cette méthode qui consiste à trouver du plaisir dans ce que l’on « doit » faire se révèle très délicate à mettre en place dans certaines situations.

    Il m’arrive de ressentir des ondes très négatives avec des personnes, souvent parce que je pense les cerner et que je n’ai tout simplement pas envie d’aller plus loin avec elles. J’ai vécu ça lors de mon voyage professionnel au Brésil quand je me retrouvais entouré de personnes que je trouvais imbuvables, des mauvaises personnes selon moi.

    J’ai ainsi fait un blocage incroyable avec un jeune allemand que je sentais faux, arrogant, qui ne me faisait pas rire et je passe d’autres aspects que je vivais mal. C’est simple, le simple fait de croiser son regard me procurait de mauvaises ondes. J’ai heureusement pu l’ignorer royalement pendant 3 semaines car le groupe était grand.
    J’ai aussi vécu cette situation avec d’autres (il y avait aussi de belles rencontres bien entendu). J’étais frustré de ma réaction car j’étais la première victime de cela (je me sentais mal) mais je n’ai pas trouvé les ressources pour faire face, encore moins pour trouver des « boutons de plaisir ».

    J’ai vécu sensiblement le même cas de figure lorsque je devais faire face à des contextes de groupe très superficiels, comme me retrouver à une table avec des inconnus à parler de la pluie ou du beau temps (voire encore pire ;) ).

    Pas besoin de te dire que cela me vidait totalement de mon énergie.

    Cela t’inspire quelque chose ? Je suis un peu prêt sûr que tu ressens très bien ce que j’exprime. Tu as des pistes pour trouver le plaisir dans de telles situations ?

    Merci encore pour l’article !
    Crusta

  4. Perrine

    Encore un article qui vaut le détour !
    C’est vrai que les fois où j’ai voulu relier mes efforts au plaisir, ça a toujours été plus efficace, et j’ai ressenti l’énergie dont tu parles. Maintenant, quand je dois faire quelque chose qui me fait peur, je me dis « tu auras peut-être une bonne surprise », je repense aux fois où j’ai effectivement eu des bonnes surprises, et ça me motive.
    J’ai aussi un autre petit truc : j’ai une chanson qui me donne un max d’énergie chaque fois que je l’écoute (et donc beaucoup de plaisir) et je l’écoute avant un moment difficile, pour me mettre en condition.

  5. Sylvain Zelliot

    Coucou tout le monde,

    Merci pour vos commentaires, marie, Wendy, Perrine. :-)

    On est tous d’accord que cette démarche de principe du plaisir dans les interactions humaines n’est pas aussi évidente à créer.

    Cela dit, je suis convaincu que pour les personnes qui y parviennent, c’est la meilleure solution qui existe pour vaincre sa timidité et sa peur des autres.

    Comment y arriver ? C’est là que ça devient délicat. Je crois que c’est avant tout une affaire individuelle et une question de développement de maturité, en fonction du parcours de chacun, de son histoire, de son tempérament, de ses mécanismes de défense, etc… Chacun cherchera les ressources en soi pour trouver et activer ces boutons de plaisir : cela nécessite de bien se connaître et d’avoir réglé ses principaux conflits psychiques.

    crusta : Ton commentaire, je ne te surprendrai pas en te disant que j’y ai pensé aussi avant d’écrire cet article et même en le terminant.
    Je pense que contrairement à la plupart des timides, ta chute d’énergie est liée plutôt à ton tempérament très tourné vers le cérébral et l’analytique, à ton aversion pour les conventions sociales, les jeux d’apparence et autres manèges de ce type. Tu as du mal à supporter tout cela. ;)

    J’ai ce problème aussi et il m’arrive malheureusement encore d’être parfois « hautain » avec les gens, misanthrope, de ne pas trouver telle personne assez intéressante, de ne pas aimer les discussions superficielles, et je me donne des excuses pour ne pas entrer en relation avec les autres.
    Avant, c’était pire. Je crois que j’ai réussi à atténuer cette sensation désagréable (même si ça reste loin d’être parfait encore) grâce à 1) un énorme travail d’introspection sur moi jusqu’à sa complétude, 2) rencontrer les bonnes personnes qui m’ont permis de relativiser et de voir plus clair, 3) acquérir une forme de sagesse et d’acceptation de moi-même ou des autres, voir l’universel plutôt que le particulier.

    J’ai l’impression que cette sensation désagréable, cet état de crispation devant des gens que tu as du mal à accepter ou à tolérer, est beaucoup plus développée chez toi encore.
    Sur ces trois axes que je viens de citer plus haut, j’ai toujours eu le sentiment que tu avais fait le chemin à moitié. D’où les difficultés rencontrées encore, selon mon observation.

    Mon article s’applique plutôt aux personnes timides et introverties, mais il est vrai que pour les gens de nature très cérébral et analytique en recherche d’harmonie dans les relations humaines, cela aurait mérité un tout autre article et des précisions plus affinées. ;)

  6. Robin

    merci pour ce super article très bien écrit.
    mon aisance sociale s’est amélioré en appliquant certains principes que tu évoques ci dessus.

  7. Hervé

    Très bon article, en effet je pense aussi qu’il faut réussir à trouver le bon état d’esprit, si on y va en considérant toute relation sociale comme une corvée, on se force et c’est épuisant à la longue (c’était mon cas par le passé).
    L’idéal est de prendre vraiment du plaisir, et ainsi au lieu de perdre de l’énergie dans ce genre d’interaction on en gagnera car cela nous fera plaisir. L’essentiel est de changer d’état d’esprit, d’arriver avec une énergie positive, et ça aide à passer un bien meilleur moment!

  8. Antoine

    Bonjour à toi,

    Je viens de tomber sur ton site et sur cet article, et je dois dire que j’ai beaucoup apprécié ce dernier ! C’est simple, concret, et surtout plein de bon sens…
    Bravo et merci pour ce partage !

  9. Sylvain Zelliot

    Merci beaucoup Hervé et Antoine pour vos messages. Cela me fait plaisir ! :)

  10. Antoine

    Par ailleurs, comme j’aime beaucoup cette manière de penser, est-ce que tu aurais des références biblio qui vont dans ce sens? Ou des articles similaires en cours d’écriture peut-être?

  11. herzog vanessa

    Merci, je partage votre avis !
    Personnellement je tente de m’entourer très très bien, avec des personnes « bonnes » pour moi. je ne cède à la pression sociale que rarement car j’y laisse trop de plumes. J’ai mis longtemps à accepter ma sensibilité et je sais que je ne peux agir du tout lors de rencontres malveillantes, je me tends physiquement et ça peut aller jusqu’à la migraine quand c’est trop fort…!!!
    Professionnellement, je travaille en libéral, ça aide mais pas à devenir riche ! :-). Qu’importe… La qualité m’importe avant tout…
    Solitaire affirmée mais sociable enjouée quand bien entourée ! L’adage « mieux vaut être seule, bla bla bla… » est juste !
    Courage !

  12. Jerome

    C’est une bonne idée de remplacer la peur par le plaisir mais je vois pas trop comment mettre ça en place. Quand je me sent très mal à l’aise avec une personne je suis incapable de prendre du plaisir à l’écouter, je suis trop bloqué pour ça. C’est un peu comme si on essayait de prendre du plaisir à se coincé le doigt dans une porte, même avec toute la bonne volonté du monde c’est compliqué

  13. 480

    Je comprends mieux pourquoi je me sens fatigué moralement après des journées au téléphone dans mon travail. (au point parfois que je ne supporte plus les enfants)
    Mais comment prendre du plaisir dans un travail qui n’en procure pas vraiment : tâches répétées, distance à maintenir avec le client, conversations parfois litigieuses…

  14. morrow

    Article très intéressant avec un style très agréable à lire.
    On se rend compte que nous, timides, nous sommes souvent à la recherche de solutions compliquées pour nous en sortir mais au final ce sont souvent les méthodes les plus simples qui reviennent aux fondamentaux des relations humaines qui nous aident à progresser.
    Après pour l’appliquer, je dirai que c’est difficile d’inverser totalement la peur en plaisir car la peur prend souvent le dessus chez un timide mais en prenant du plaisir à échanger avec les autres, on peut déjà diminuer un peu cette peur. C’est une très bonne piste pour sortir de la timidité. Merci du conseil, Sylvain!

  15. pénélope

    Cet article est très parlant pour moi, lorsque je sors que je rencontre de nouvelles personnes ou que je suis avec des amis, il y a toujours ce moment ou je me sens épuisée et ou le besoin de vite rentrer me prend.
    Je n’ai plus l’énergie d’être en interaction! et besoin de retrouver mon cocon protecteur.
    Je pense que le plaisir est là ou pas !! on peut difficilement le commander.
    Pour ma part je ne me force pas si je ne me sens pas à l’aise avec une personne je ne m’y intéresse pas !
    Par contre je réalise en lisant tes articles que je ne m’intéresse peut-être pas assez aux autres (ma timidité concerne surtout les hommes !)

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